Nom : Hystalie
Prénom : Chiwa
Âge : 17 ans
Race : Déesse
Etat : Déesse du vent
Statut : Déesse de la Générosité >=] (vraiment ?)
Pouvoir : Chiwa a toujours aimé la médecine…Elle en est passionnée depuis son plus jeune age…Son pouvoir en est donc venu de là : son pouvoir de guérir grâce à son souffle n’importe quelle blessure. Cependant, les blessures les plus mortelles et où le sang a déjà coulé (blessure mortelle grave), ne peuvent pas être guéries par son seul souffle…
Pouvoir particulier : Chiwa aimait aider comme elle aimait le chocolat. Mais son amour fou pour les animaux dépassait tout entendement… Elle allait souvent, depuis toute jeune, gambader dans les bois pour jouer avec les licornes, les loups, les singes, et surtout les écureuils. Avec de la maladresse au départ, elle tentait de les suivre à travers les arbres, et les écureuils l’appréciaient. Elle aimait tant ces petites bêtes au visage rond, avec leurs deux petites oreilles pointues, qu’un jour, elle découvrit qu’elle n’avait plus aucun mal à les suivre ! Ses yeux ne voyaient plus pareil, sa vitesse était différentes, ses pattes se mouvaient à une vitesse incroyable… Quoi ?! J’ai bien dit ses « pattes » ? Eh bien oui, sa taille avait diminué et une queue touffue de couleur cuivre venait caresser son visage doux d’écureuil…
Sa première transformation a eu lieue lorsqu’elle avait 11ans.
Description physique : De longs cheveux rosés recourbés en petites bouclettes fines encadraient un doux visage triangulaire plein de gentillesse… Ses deux yeux rubis étaient mornes et sans expression flagrante. Mais lorsque sa bouche se transformait en un charmant sourire plein de compassion, ses deux yeux sombres sortaient de leur froideur et devenaient rieurs, pleins de bonté… Sa silhouette fine et gracieuse allégeait son expression de tristesse… Chiwa n’était pas bien grande, elle mesurait 1 mètre 57 et portait souvent une longue robe rouge en soie qui lui donnait l’air d’une poupée si fragile que l’on ne pouvait pas avoir envie de lui faire du mal… Bien qu'elle n'ait que 17 printemps, Chiwa reste donc une jeune fille assez mignonne et radieuse...
Description Morale : Chiwa est encore jeune, très jeune. Pourtant, son caractère est déjà régulier : elle est douce et timide, calme et réservée… Et dès qu’il s’agit d’aider un ami, ou un animal blessé, elle donnera toujours toute sa vivacité pour lui venir au secours, elle fera toujours de son mieux pour aider son prochain…
Pourtant, dès qu’il s’agit de sa famille, et tout en particulier de sa mère, on ne la reconnaît plus. Chiwa entre en transe, elle sent la colère monter en elle tel une vague prête à la submerger de son mal… Chiwa a alors des yeux de couleur rouge sang qui lui valent une expression de démon… Une envie de meurtre la submerge et elle serait prête à tout pour s’en empêcher : malheureusement, elle ne peut rien faire, le sang malsain de ses parents coule dans ses veines et sa rage ne fait qu’augmenter rien qu’en y pensant… Chiwa parvient tout de même à reprendre le contrôle au bout d’un certain temps… Heureusement, ce cas de fureur ne lui arrive que très rarement et sa timidité et sa gentillesse sont tout de même là au quotidien…
Chiwa a tout de même ce don, cette force de redonner le sourire facilement à des personnes qui en ont besoin, qui se sentent seules, abandonnées, démolies … Cet aspect de son caractère n’en est que plus attendrissant...
Aime : J’ai toujours aimé le souffle mélodieux du vent qui fouette tendrement mes cheveux et ma robe rubis… C’est une passion incompréhensible à laquelle je ne pourrais jamais renoncer… Cette sensation d’avoir les yeux clos, le vent battant à mes côtés, la brise légère soulevant ma chevelure rosée… J’en suis sûre : je ne pourrais jamais m’en séparer.
Bien sûre, il y a beaucoup d’autre choses qui compte beaucoup pour moi , comme la médecine, le savoir, le goût, les animaux, la tiédeur fraîche de la forêt touffue, ou encore le son mélodieux d’une flûte… J’aime toutes ces choses passionnément, mais mon numéro un, on peux dire que j’en suis amoureuse, que c’est ma raison de rire, de vivre mon quotidien. Cependant, j’ai également un très grand penchant pour tout ce qui est chocolaté *_* Ce goût, cette finesse, sa fluidité : j’aime tout dans le chocolat… C’est mon deuxième plus grand bonheur que de savourer ce met délicieux ! En même temps, que serait la vie sans chocolat ?
N’aime pas : Je hais par dessus tout le sentiment qui a détruit ma vie, ce sentiment de haine qui émerge parfois de mon subconscient, cette idée de vengeance que les gens ont. La vengeance, oui c’est bien de cela qu’il s’agit… La haine ne fait qu’engendrer la haine, la vengeance fait partit de ce cycle discontinu, et c’est justement ce sentiment, ce trait de caractère que je déteste plus que tout au monde… Il a détruit beaucoup d’âmes, de sentiments, remplis des cœurs d’amertume, répandu la souffrance autour de lui… Oui, car si je déteste tant ce sentiment, c’est parce que je ne supporte pas lire la souffrance au creux du regard de quelqu’un, y lire le désespoir, l’envie de mourir, de quitter ce monde de haine qu’est devenu celui où je vis aujourd’hui … Eh bien oui : c’est comme ça que je visionne le monde actuel : je sais mieux que quiconque lire le désespoir dans les prunelles des gens, et je vois bien que les conflits entamés par les hommes ne sont pas que de l’irréel ! La vie n’est pas juste, le destin est contradictoire, mais ce n’est pas pour autant que l’on se laisser abattre par ce sentiment de haine qui ne fait que dévaster la vie… C’est pourquoi je me battrai toujours contre cet envie de remédier à la vie…
Histoire : << Chiwa !! Chiwaaaa !!!>>La voix, je ne l’entendais qu’à moitié. Elle résonnait, passant d’une oreille à l’autre, sans que mon cerveau ne se dise que c’était moi qu’on appelait. Le timbre médium de cette voix, je le connaissais par cœur, et pourtant j’aurais voulut ne jamais l’avoir entendu …
Ma mère m’appelait. Je décidai de l’ignorer. Elle insista. Moi également. Cette fois, elle attrapa mon bras pour m’attirer vers elle, et je me débattis comme je pu. Je détestait ma mère encore plus que ne m’exaspérait sa voix. Au moment de cette histoire, j’avais 16 ans, j’étais la jeune fille rebelle qu’une mère n’aurait jamais souhaité. Mais comment ne pas la détester ?
Pour que vous me compreniez un peu mieux, il vaudrait mieux que je vous raconte mon histoire en commencent par le début. Le tout début de mon existence, de ma misérable vie.
*****
La sueur perlait sur son front. Cela faisait plusieurs heures qu'elle courait, le vent la poussant doucement pour l'aider à avancer, car le fardeau qu'elle portait dans ses bras pesait lourd... Ce fardeau, c'était moi, enveloppée dans un drap, dans les vingt-quatre heures qui suivaient ma naissance.
Alors que ma mère courait le plus vite possible, moi je restais calme, alors que je n’étais qu'un nourrisson, et que j'aurais dû pleurer, crier comme un bambin... J'aurais dû faire tout ça, mais déjà à cet âge, le souffle doux du vent m'apaisait. Pourquoi courait ma mère, qu'est ce qu'elle fuyait, ça je ne l'ai appris qu'à l'âge de mes huit ans. C'est pourquoi je peux vous la raconter...
Ma mère n'était pas quelqu'un qu'on pourrait qualifier de bienveillant. Ce qu'elle fuyait, ce qu'elle ne voulait plus jamais revoir, c'était mon père... Elle avait commis un acte malsain et n'avait jamais voulut le lui dire... Et le jour où elle s'était enfin décidée à lui en parler, ça s'était très mal passé, il... Il l'avait battu.
A présent, je ne suis pas en mesure de vous dire ce qu'elle avait réellement fait. Ce que je ne sais pas je ne peux que chercher à le deviner... Aujourd'hui, je pense que je ne suis pas assez mature pour pouvoir savoir... Ne serais-ce qu'imaginer...?
Alors j'ai toujours eu une mauvaise impression de ma mère... Pourtant, je sais que mon père était pareil, même pire, peut être ? Mais je ne pourrais jamais en témoigner car depuis ce jour, je n'ai jamais revu mon père (d’ailleurs, je ne me souviens pas le moins du monde de lui). Car à l'instant où ma mère a reçu ces coups, elle s'est enfuie. En courant. Ne sachant pas où aller. Tout ce qu'elle voulait, c'était fuir cet homme qu'elle avait trahis en commettant un acte que personne n'aurait jamais dû commettre lorsqu'ils étaient dans le même camp que mes parents : des Dieux qui n'ont jamais voulu d'hommes, des Dieux pourris de mauvais caractère ( d'après ma façon de penser ).
Depuis ce jour, je n'ai jamais cessé d'haïr ma mère. Car je n'aurais jamais imaginé que l'erreur fatale qui lui avait valut des coups était la seule chose bien qu'elle ait fait dans sa vie...
Aujourd'hui, alors que ma mère me tirait fermement le bras, je n'imaginais pas que son choix avait été le bon autrefois... Alors, poussée par un élan d'immaturité, je pris une décision. Si elle était bonne ou mauvaise ? Allez savoir. En tout cas, je déguerpis. Comme ma mère avait fuis mon père, je fuyais la seule famille qui me restait. Mon rêve avait toujours été la cohabitation avec les hommes, pourquoi ne pas en profiter ? Je voulais ramener le monde à la raison, revenir aux croyances et aux histoires anciennes décrites dans les livres... Pour moi, tout ce que je souhaitais, c'était aidé. Aider ces pauvres hommes par mes pouvoirs. Aider la volonté de paix. Aider la médecine, le progrès. Aider les animaux, la survie...
En vain, elle essaya de me rattraper. Je lui échappais aisément : je courais bien trop vite pour elle ... Alors, d'un dernier regard en arrière, je lui jetait mon ultime coup d'oeil résolu, d'un rouge pourpre et se fut, et se sera toujours, le seul regard plein de bonté que je lui lançais...
Depuis, un an s'est écoulé.
[ Alors voili voilou, j'ai enfin fini ma fiche
J'en suis assez contente =) Mais et toi, le grand tyranique des fiches, qu'en pense tu ? ]